Finalement, il avait fini par la trouver, cette fichu chambre! Ses bagages déposés par un valet, et celui-ci ayant franchi la porte, Valexan pu faire ce qu'il avait révé de pouvoir faire toute la journée : oter ses chausses, et se laisser tomber sur le lit, les bras écartés en croix! Restant ainsi immobile pendant quelques minutes, les yeux fermé, le Vicomte pu apprécier la fermetée de la couche qui serait la sienne et celle de son épouse ;
Se relevant finalement à contre coeur, il alla jusqu'à la fenêtre, et jeta un coup d'oeil vers l'exterieur; l'ouverture donnait juste sur la cours, et le Montabzon vit avec ravissement une silhouette qui ne lui était pas inconnu : celle de sa tendre épouse, de sa Nata.
Ravit qu'elle l'ai déjà rejoint, Il ouvrit la fenêtre, faisant de grand gestes de la main pour qu'elle le remarque, avant de s'éloigner de la fenêtre, la laissant ouverte.
Il était temps qu'il se rafraichisse, se débarbouille un peu et se change ; c'était un pleonasme que de dire qu'en cet instant il ne davait pas sentir la rose... Otant sa chemise, il versa un peu d'eau dans une bassine, et plongea son visage dedans, frotant énergiquement avec ses mains. Humidifiant un linge, il se mit en devoir de laver torse, bras et dessous de bras avec soin. Un autre linge, sec cette fois, pour s'essuyer, et voilà un Montbazon tout beau tout propre! Quelques gouttes d'un delicieux parfum que son epouse, fleuriste, avait préparé specialement pour lui, histoire de chasser les dernières mauvaises odeurs persistantes, et Valexan pouvait sortir de sa malle les vétements qu'il avait amené specialement pour la céremonie de mariage de sa soeur...
Se relevant finalement à contre coeur, il alla jusqu'à la fenêtre, et jeta un coup d'oeil vers l'exterieur; l'ouverture donnait juste sur la cours, et le Montabzon vit avec ravissement une silhouette qui ne lui était pas inconnu : celle de sa tendre épouse, de sa Nata.
Ravit qu'elle l'ai déjà rejoint, Il ouvrit la fenêtre, faisant de grand gestes de la main pour qu'elle le remarque, avant de s'éloigner de la fenêtre, la laissant ouverte.
Il était temps qu'il se rafraichisse, se débarbouille un peu et se change ; c'était un pleonasme que de dire qu'en cet instant il ne davait pas sentir la rose... Otant sa chemise, il versa un peu d'eau dans une bassine, et plongea son visage dedans, frotant énergiquement avec ses mains. Humidifiant un linge, il se mit en devoir de laver torse, bras et dessous de bras avec soin. Un autre linge, sec cette fois, pour s'essuyer, et voilà un Montbazon tout beau tout propre! Quelques gouttes d'un delicieux parfum que son epouse, fleuriste, avait préparé specialement pour lui, histoire de chasser les dernières mauvaises odeurs persistantes, et Valexan pouvait sortir de sa malle les vétements qu'il avait amené specialement pour la céremonie de mariage de sa soeur...