Arrivée sans encombre, avec une chambre délicieusement décorée, mais plus important suffisamment spacieuse pour ses trois malles, Beths avait pu se changer pour mettre l’une de ses 27 tenues strictement identiques de maréchale. Un petit hobby personnel, une sorte de collection, c’était bien simple, elle en semait partout : à la prévôté, chez son époux, à Thiers, euh … c’était tout mais c’était déjà beaucoup si elle comptait les heures passées.
Bref, dans l’une de ces superbes tenues admirablement taillée, il fallait dire qu’elle avait enfin retrouvée une taille normale après les mois et les mois qu’avaient durés sa grossesse, et de fait, elle pouvait de nouveau profiter de ces tenues qu’elle adorait particulièrement. Mais trois malles me diriez-vous ? Hum … trois malles certes, mais … qui sait ce que contenaient en fait ces malles ? Laissez le charme agir ? Ehehehe
Il ne lui restait que deux jours … deux jours pour quelques préparations. Si court et si long à la fois. Hum …
Habillée et prête, elle plongea la tête dans l'une de ses malles pour en ressortir avec ... des cisailles en main. Pour qui avait l'habitude de la croiser, cette arme changeait légèrement de son épée qu'elle ne quittait que rarement, mais pour la bonne cause, son épée ne lui serait d'aucune aide lors de son premier arrêt indispensable, les jardins. Elle avait besoin de quelques fleurs, quelques éléments végétaux aussi pour certaines décorations. Et ce fut donc d’un pas alerte et enjouée qu’elle tomba … dans ce petit coin de nature.
Sauf que rapidement elle se perdit et se rendit compte qu’elle était tombée dans le piège du labyrinthe et qu’aucun fil ne la liait au château. Hum. Pour une surprise … c’était une surprise. Faisant contre mauvaise fortune, bon coeur, elle allait alors profiter de sa ballade pour tenter au moins de trouver ce qu’elle cherchait. Au pire sa voix pourrait être une solution, ou alors les cisailles seraient son plan B, mais elle doutait un peu que Leg ou Guy apprécient réellement qu’elle abima un tant soit peu leur beau labyrinthe.
Quoi que … avisant là, juste en face d’elle, un bosquet … superbe … d’une taille … oui, parfaite … sincèrement parfaite, un immense sourire malicieux apparu sur ses traits. A moins qu’elle fut aidée, elle en aurait pour toute la journée, mais qu’importe, l’amusement, l’envie, l’espièglerie la gagnait, et … ce petit coin de nature était suffisamment éclatant pour qu’elle s’amusa. Levant cisailles, elle s’approcha du bosquet et commença son œuvre
Bref, dans l’une de ces superbes tenues admirablement taillée, il fallait dire qu’elle avait enfin retrouvée une taille normale après les mois et les mois qu’avaient durés sa grossesse, et de fait, elle pouvait de nouveau profiter de ces tenues qu’elle adorait particulièrement. Mais trois malles me diriez-vous ? Hum … trois malles certes, mais … qui sait ce que contenaient en fait ces malles ? Laissez le charme agir ? Ehehehe
Il ne lui restait que deux jours … deux jours pour quelques préparations. Si court et si long à la fois. Hum …
Habillée et prête, elle plongea la tête dans l'une de ses malles pour en ressortir avec ... des cisailles en main. Pour qui avait l'habitude de la croiser, cette arme changeait légèrement de son épée qu'elle ne quittait que rarement, mais pour la bonne cause, son épée ne lui serait d'aucune aide lors de son premier arrêt indispensable, les jardins. Elle avait besoin de quelques fleurs, quelques éléments végétaux aussi pour certaines décorations. Et ce fut donc d’un pas alerte et enjouée qu’elle tomba … dans ce petit coin de nature.
Sauf que rapidement elle se perdit et se rendit compte qu’elle était tombée dans le piège du labyrinthe et qu’aucun fil ne la liait au château. Hum. Pour une surprise … c’était une surprise. Faisant contre mauvaise fortune, bon coeur, elle allait alors profiter de sa ballade pour tenter au moins de trouver ce qu’elle cherchait. Au pire sa voix pourrait être une solution, ou alors les cisailles seraient son plan B, mais elle doutait un peu que Leg ou Guy apprécient réellement qu’elle abima un tant soit peu leur beau labyrinthe.
Quoi que … avisant là, juste en face d’elle, un bosquet … superbe … d’une taille … oui, parfaite … sincèrement parfaite, un immense sourire malicieux apparu sur ses traits. A moins qu’elle fut aidée, elle en aurait pour toute la journée, mais qu’importe, l’amusement, l’envie, l’espièglerie la gagnait, et … ce petit coin de nature était suffisamment éclatant pour qu’elle s’amusa. Levant cisailles, elle s’approcha du bosquet et commença son œuvre
