Albert perclus de douleur dans le dos, s'appuya un instant sur la pile chancelante qu'il venait d'aménager, se frottant doucement cet élément si mal mené par un Duchesse qui s'était décidé à embarquer son propre château, ou presque, pour le mariage de sa marraine.
Enfin, il était homme et domestique, et n'avait évidemment rien à dire sur la question.
Il venait d'achever le travail qui lui avait été demandé, et maintenant il la laisserait se débrouiller, il n'avait qu'une hâte, trouver les cuisines pour un remontant. Car il ne doutait point qu'elle lui trouverait encore mille choses à faire. A croire qu'elle n'était jamais fatiguée ... maréchale ... fallait s'en douter en même temps.
Contemplant les affaires en hochant négativement la tête, il eut un doute soudain ...
Hum ... elle était petiote la Duchesse. Moui, il valait quand même mieux tout poser l'un à côté de l'autre plutôt ... surtout que la chambre était spacieuse et ... hum ... oui ... superbe. L'homme jeta un regard appréciateur sur le mobilier. Décidément la marraine avait un goût certain. La chambre était parfaite.
Dernier coup d'oeil avant de sortir pour enfin une pause bien méritée, et une sorte de tornade passa le seuil
Ah, Albert, parfait
Beths admira la chambre qu'elle découvrait à l'instant
Oooooh comme c'est beau. Legowen a aménagé cette chambre délicieusement. Et je suppose qu'il en va de même pour tout le château. J'ai hâte de découvrir la salle de réception.
Elle laissa vagabonder ses yeux sur les tentures, le mobilier, les riches brocards, le lit, et ... ses malles
Ah mes malles, parfait Albert, merci. Allez prendre soin des chevaux et rangez le carrosse dans les écuries, enfin voyez avec le personnel des lieux hein, et puis ensuite ...
La Duchesse porta son regard sur l'homme qui s'était déjà résolu à passer toute sa journée à s'épuiser. Beths ne put s'empêcher de sourire gentiment
Et ensuite, je suis sûre que vous trouverez âme charitable pour vous conduire en cuisine pour vous désaltérer. Après vous êtes reposé, vous pourrez rentrer à Billy pour ... accompagner mon époux jusqu'ici ? Merci Albert.
Hochement de tête de l'un et l'autre, l'homme ne demandant pas son reste, filant tel le vent, de peur qu'elle lui trouva encore autre chose à faire.
Mais Beths les yeux rivés sur ses malles ne pensait même plus à lui. Elle avait à faire, beaucoup à faire, et pour commencer ... elle allait mettre l'une de ses très nombreuses tenues strictement identique de maréchale thiernoise. Inutile pour l'heure de salir et froisser la soie.
Enfin, il était homme et domestique, et n'avait évidemment rien à dire sur la question.
Il venait d'achever le travail qui lui avait été demandé, et maintenant il la laisserait se débrouiller, il n'avait qu'une hâte, trouver les cuisines pour un remontant. Car il ne doutait point qu'elle lui trouverait encore mille choses à faire. A croire qu'elle n'était jamais fatiguée ... maréchale ... fallait s'en douter en même temps.
Contemplant les affaires en hochant négativement la tête, il eut un doute soudain ...
Hum ... elle était petiote la Duchesse. Moui, il valait quand même mieux tout poser l'un à côté de l'autre plutôt ... surtout que la chambre était spacieuse et ... hum ... oui ... superbe. L'homme jeta un regard appréciateur sur le mobilier. Décidément la marraine avait un goût certain. La chambre était parfaite.
Dernier coup d'oeil avant de sortir pour enfin une pause bien méritée, et une sorte de tornade passa le seuil
Ah, Albert, parfait
Beths admira la chambre qu'elle découvrait à l'instant
Oooooh comme c'est beau. Legowen a aménagé cette chambre délicieusement. Et je suppose qu'il en va de même pour tout le château. J'ai hâte de découvrir la salle de réception.
Elle laissa vagabonder ses yeux sur les tentures, le mobilier, les riches brocards, le lit, et ... ses malles
Ah mes malles, parfait Albert, merci. Allez prendre soin des chevaux et rangez le carrosse dans les écuries, enfin voyez avec le personnel des lieux hein, et puis ensuite ...
La Duchesse porta son regard sur l'homme qui s'était déjà résolu à passer toute sa journée à s'épuiser. Beths ne put s'empêcher de sourire gentiment
Et ensuite, je suis sûre que vous trouverez âme charitable pour vous conduire en cuisine pour vous désaltérer. Après vous êtes reposé, vous pourrez rentrer à Billy pour ... accompagner mon époux jusqu'ici ? Merci Albert.
Hochement de tête de l'un et l'autre, l'homme ne demandant pas son reste, filant tel le vent, de peur qu'elle lui trouva encore autre chose à faire.
Mais Beths les yeux rivés sur ses malles ne pensait même plus à lui. Elle avait à faire, beaucoup à faire, et pour commencer ... elle allait mettre l'une de ses très nombreuses tenues strictement identique de maréchale thiernoise. Inutile pour l'heure de salir et froisser la soie.